#c'est un peu lourd
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Ma nouvelle amie, la ménopause.
(elle mérite bien une belle écriture.)
Bien, bien, bien, je me suis penchée sur le sujet afin de mieux comprendre ce qui m'arrive depuis quelque temps, environ 4 mois. Parce que, non, le ménopause ce n'est pas que les bouffées de chaleur et des sautes d'humeur !
Et si j'avais su, j'aurais anticipé.
les symptômes qu'elle entraîne, ENTRE AUTRE, je n'ai listé que ceux qui me concernent :
bouffées de chaleur : ☑️ lorsque cela m'arrive, plutôt dans la journée, c'est à limite de faire un malaise...
insomnie avec des conséquences négatives sur la vigilance et sur la mémoire : ☑️ et franchement sur la mémoire c'est vraiment très compliqué au quotidien
fatigue ☑️☑️ extrême !
des maux de tête ☑️☑️☑️ je me tape migraine sur migraine depuis trois mois (j'y suis sujette de toute façon mais là elles s'enchaînent)
de l'anxiété ☑️☑️ doublée de la mésestime de soi
les ballonnements ☑️ je suis une baudruche en permanence
Fatigue musculaire ☑️
des épisodes dépressifs sont également observés ☑️☑️ bon ben je me suis remise sous anxiolytiques (j'espère de cette façon atténuer les crises de larmes) en attendant que soit mon gynéco, dont j'attends des nouvelles, me donne un traitement adapté soit je prendrai rdv avec mon médecin traitant rapidement.
En soit, c'est une étape, pas de soucis, je savais que cela allait arriver j'ai pris 3 kg en 3 mois et demi aussi. J'avais anticipé cette prise de poids en suivant mon régime l'année dernière mais ça me fait quand même bien chier.
Par contre toutes ces informations j'ai dû aller les chercher et j'ai plutôt l'impression que ce qui est dit tout haut, c'est bouffées de chaleur et irritabilité, pourtant la liste est longue et je n'ai vraiment mis que les inconvénients que me procure cette situation je l'espère passagère. Je dis passagère parce que je me doute bien qu'il doit y avoir des traitements pour atténuer tout cela.
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fave jean jacques goldman song ?
J'aime beaucoup Tournent les violons! Et bien sûr la vie par procuration et Il changeait la vie (😉)
#tu me sauves j'ai encore une heure de bus et le seul bouquin que j'ai c'est Notre Dame de Paris#pas que j'aime pas mais c'est un peu lourd des fois comme sujets abordés
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EN CE JOUR DE NOËL
Aujourd'hui, je veux adresser un mot à tous.
A ceux dont la pièce est remplie de rire, à ceux qui cheminent seuls, accompagnés d'une douleur qui ne se dit pas. A vous, dont le silence de l'absence pèse lourd comme un manteau d'hiver.
Pour les cœurs en deuils, que la douceur d'un souvenir vienne doucement vous effleurer, comme une étoile discrète au ciel de vos pensées. Que l'absence laisse place l'espace d'un instant à une tendresse pour nos regrettés absents.
Pour les âmes esseulées, que ce jour de Noël vous murmure combien vous êtes importants, qu'il y a quelque part une lumière qui brille pour vous et se rapproche à chaque instant.
A vous qui luttez contre la maladie, je vous souhaite de trouver la force de croire en des jours meilleurs, et le réconfort dans les petits instants de paix.
A ces parents, qui en ces fêtes n'ont pas leurs enfants à leurs côtés. Que votre amour voyage, invisible mais puissant comme un fil d'étoiles tendu entre vos âmes. Que chaque pensée que vous leur envoyez les atteigne peu importe où ils se trouvent.
Pour ceux qui cherchent encore un sens à cette fête, sachez que Noël n'est pas seulement une célébration bruyante. C'est aussi une promesse, celle d'une lumière qui revient même dans les nuits les plus noires.
A vous tous, je vous souhaite un joyeux Noël dans toutes ses nuances. Je lève mon verre à ceux qui nous manquent, que notre amour voyage à travers l'espace.
Jennifer.K
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Dites voir, fandom du Visiteur, ça fait un bail :D
Je suis en train de retomber sévèrement dans l'hyperfixation du fandom, figurez vous. Voici donc une quatrième carte de tarot : Judith, pour le Six d'Epées !
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I love her your honour
Sous la coupure, un bon gros pavé des familles pour expliquer un peu qu'est-ce que c'est les histoires. Plus, en bonus, les trois cartes précédentes, qui ont pris de l'âge mine de rien.
Pourquoi donc que ce choix là, donc ? Eh bien, c'est plus une question de plot que de personnalité. En particulier l'épisode de la saison 3 que nous connaissons tous, et duquel je me suis totalement remis parce que ça fait des années quand même (c'est faux le traumatisme ne disparaîtra jamais)
La carte, donc, lorsque tiré droite, indique que vous (oui, vous. Je vous vois) êtes dans un moment de transition. Vous laissez derrière vous ce qui vous est familier, et vous vous avancez vers l'inconnu. Ce changement vous est imposé, sans doute par un charmant coup de couteau dans le bide. Rip, vous. Vous êtes peut-être triste, ou effrayé.e, à l'idée de quitter ce que vous connaissez ; mais sachez que ce changement est une incroyable nouvelle chance ! Il est essentiel pour que vous grandissiez en tant que personne, pour que vous puissiez faire de nouveaux choix... Vous avez bien fait de faire installer cet implant, dans une autre réalité. Votre tristesse laissera bientôt place à l'acceptation du changement, et vous aurez l'occasion de devenir une personne meilleure. Il n'est plus utile de vous attacher au passé (à la vie. Oopsie), ou même à vos circonstances présentes (quel petit bâtard, ce Dario). C'est votre moment : à vous de faire vos choix, et de recommencer à zéro. Petite veinarde. Bien sûr, n'oubliez pas de bien réfléchir à vos bagages émotionnels : vous avez porté avec vous un poids de votre propre fabrication, qui a pu nuire à vos relations. Vous devez comprendre ce poids, comprendre ce qui l'a rendu si lourd, et faire ce qui doit être fait pour éviter de réitérer les mêmes erreurs.
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A l'envers, grosso modo, c'est la même idée. Mais, ahah, p'tit subtilité ; votre voyage, votre changement, se fait d'un point de vue spirituel. Vous savez, puisque vous êtes dead. Vous pouvez être en train de résister à ce changement, parce que vous essayez de dormir et que ces types n'arrêtent pas de sonner à votre porte, merde. Mais ça ne sert à rien de lutter, de résister : le changement va avoir lieu. Il faut l'accepter. Vous avez l'occasion de revenir sur vos regrets et vos remords. Foncez !
Et voilà qui conclue cette petite logorrhée verbale. En espérant que ça vous ait plu !
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J'ai très envie de faire une carte pour notre vénérée reine Clothilde IV. A voir...
#le visiteur du futur#tarot project#six of swords#vdf#vdf fanart#vdf judith#le visiteur du futur judith
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"You speak French??"
The translations were made by me, as I'm a native French speaker! tho, if you have any issues/questions/see any mistakes, don't be afraid to point them out!
The fact that you never admitted to speaking French to the residents of the mansion was a simple lie of omission. You didn’t think it was that important at first, and then you also noticed how much of an advantage that was. This meant you could spy on some of residents without much trouble at all. Sadly, the charade couldn’t last forever.
NAPOLEON
He had a habit of rambling in French to himself. Random thoughts, most of them unimportant and simple little reminders to do something later. But every once in a while, he would mumble something that caught your attention, and you’d have to hold in your laughter. He had to stop though, once he realized you understood what he was saying and was absolutely humiliated.
It had been a rough day, and the man was frustrated. Between the bickering kids and the eccentric residents, he was practically boiling. That was reason enough to be mumbling insults and such.
“C’est juste des cons. Pas capable de se la fermer, tous inutiles.”
(They’re just idiots. Can’t shut up, useless.)
And it came out before you could even think about it. You just had to.
“Quand même, c'est un peu méchant M. Napoléon. Mais je l’admets… ils sont un peu lourds.”
(Well, that’s a bit rude Mr. Napoleon. But I’ve got to admit… they are a bit annoying)
The look on his face was absolutely priceless. Surprise, confusion, worry, all of it. Napoleon opened his mouth once, then closed it. he reopened it again and closed it once more. Third time’s the charm they say…
“Since when…?”
“Ah, that’s my little secret. Just don’t tell the other, will you?”
Suspicion crossed his face.
“Why?”
“You know, it’s a great advantage to have. Would be a shame to lose it.”
“You’re a devil Nunuche, but a smart one I’ll admit.”
And with a chuckle he left the room
COMTE DE SAINT-GERMAIN
You intended to tell him at first. When he started bringing you to all those dinners, galas, and parties for the aristocrats of the city. You wanted to speak with him and the other attendants. But as soon as they heard the accent in your “bonsoir”, they switched to English, and you rolled with it for some reason. Now it had been months, and you felt it would be weird to start speaking French now.
You were used to being ignored in conversations too. None of it was on purpose and you couldn’t take it personally when Comte was such a popular man to begin with! What you weren’t used to, though, was being disrespected right in your face as if you weren’t there.
The first comment had been something along the lines of “you finally found someone to give you a son!”
Your husband was quick to answer that he had chosen you because you were you. It had nothing to do with kids.
The second almost made you open your mouth. But it was no use. Comte made very sure to let him know he was crossing a limit and ended the conversation there.
“Some people lack manners, it seems. No use wasting more time on this unimportant discussion.”
You simply nodded and followed.
But then you wanted a little treat to eat, and the buffet was on the other side of the room. So, you left Comte for a moment to grab something. Sadly, the same man from earlier was there, chatting away with someone you didn’t know. As soon as he saw you, you knew something unpleasant would happen.
“Elle n’est rien de bien spécial, mais j’imagine qu’elle doit être particulièrement bonne au lit si le Comte de Saint-Germain a décidé qu’elle était bonne à marier. »
(she’s nothing special, but I guess she’s particularly good in bed if the Count of Saint-Germain has decided to make her his wife.)
You pondered for a moment if you should even grace him with an answer. It wouldn’t do any good, you knew that. But if the man had the galls to say it, he surely could listen to your answer, no?
“Monsieur, j’apprécierais sincèrement que vous vous absteniez de m’insulter en ma présence. Et puis, ce sont de riches paroles, venant de l’homme dont la femme est reconnue pour avoir plusieurs amants. Au moins, l’un de nous sait satisfaire son partenaire… "
(Sir, I would appreciate if you could hold back from insulting me in my presence. And this is rich, coming from the man whose wife is known to have several lovers. At least, one of us can satisfy their spouse…)
Red rose to the man’s face.
“Eh bien, je crois que le message est clair!
(Well, I think the message is clear!)
Comte’s voice made you jump in your place. You hadn’t heard him coming at all! You turned to look at him with shyness in your eyes, a bit worried he would scowl you for your action. But all he did was look at you with pride.
As you left though, he did ask where you learned to speak French.
“A while back, in my world.”
JEAN D'ARC
That night you were staying up late to clean up after one of Leonardo’s raids of the library. It was rotten work for sure, but someone had to do it and Sebastian was finishing up polishing of the silverware. So here you were, going through piles of books left on tables.
Time passed and after a while of not hearing any noise, you figured it wouldn’t hurt to sit down and read for a few minutes. There was a book that had caught your attention while cleaning up. It was a little book of French fables. Some of which you remembered reading back in school when you were young. Slowly, the stories caught your attention for good and the world around you faded.
That’s when Jean entered the room, in the hopes of finding some peace and some books to help him learn to write and read. Still hooked on your little island of nostalgia, you didn’t hear him at all. And him, not wanting to bother you, stayed in his little corner of the library.
An hour must have passed before your eyes left the pages of the book. But when you did, you were surprised to find you weren’t alone anymore. And you felt a bit cheap about being caught slacking on your job.
“I didn’t hear you come in, Jean. What are you doing here?”
“I’m trying to read this book. But it’s hard, I don’t understand much…”
The poor man was trying to read “Les Misérables”, of course he was having a hard time understanding what all those fancy words meant! You held your chuckle in and handed him your fable book.
“You might find this one easier to read. You picked a rather daunting book to try to learn.”
“Oh but… you know I speak French mademoiselle. Your book-” You smiled.
“Take a look at the cover. What does it say?”
It took him a minute to decipher the sounds and the words, but he managed to read the title out:
“Les fables de La Fontaine.” Jean paused. “It’s in French…”
“Yes, it is.”
“You can read French?” there was curiosity in his eyes.
“Oui, mais pas que. Je le parle aussi.”
(Yes, but that’s not all. I can speak it too.)
“Je ne savais pas. Vous ne l’avez jamais dit.”
(I didn’t know. You never told us)
“It’s my little secret,” you answered with a smirk. “Now, if you’ll excuse me, I should finish cleaning Leo’s mess.”
“Merci.”
“Bienvenue!”
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 163, juillet 1914, Paris. "Lettre sur la mode: La silhouette actuelle et l'attitude-tango." Francis de Miomandre. Bibliothèque nationale de France
English translation by Google Translate (and edited for relative clarity).
Ma chère amie,
Vous me demandez mon avis sur la mode actuelle, comme ça, simplement?… Voilà bien une idée de femme!… Comme si Fou pouvait professer une opinion sur un pareil sujet, si ondoyant! Tout ce que peut faire un homme de goût, c'est d'admirer ses contemporaines qui passent, et de respecter cet effort martyrisant qu'elles t'imposent pour diversifier à l'infini leur séduisante figure. Je sais que cet effort n'est pas toujours heureux. Mais n'allez pas en incriminer la mode, qui n'y est pour rien. Il y a deux sortes de femmes, celles qui ont du goût… et les autres. Ces dernières ont le génie d'élire parmi les accoutrements du jour celui précisément qui les rendra ridicules.
Il arrive un moment où nous ne remarquons plus combien sont gracieuses les femmes de goût qui portent encore les choses à la mode le mois dernier, mais nous n'avons plus d'yeux que pour leurs malheureuses imitatrices. C'est à ce moment-là qu'une mode est démodée. Il faut la changer.
La question de changer ne se pose pas pour la mode actuelle, puisque sa caractéristique est d'etre au contraire en perpétuelle évolution. Une évolution! que dis-je? un vertige… On n'a pas le temps s'y reconnaitre… Il semble que toutes les les pays soient conviés à nous fournir des motifs d'inspiration sans cesse renouvelés. Et c'est la Perse et bientôt l'Inde, et c'est la Grèce, la Grèce de M. Pierre Loüys, la Grèce à demi orientale d'Alexandrie, et c'est la Turquie et demain ce sera la Chine. Et puis après, on remontera dans le moyen âge. On pillera les musées. La mode actuelle? Ah! bien quinaud celui qui essaierait de s'en moquer! Car il n'aurait pas plutôt achevé sa petite diatribe, si vaine ! que déjà on pourrait lui répondre: « Mais, Monsieur, vous datez, vous vous raillez d'une très vieille chose. Ce que vous trouvez ridicule, il y a au moins quinze jours que nous en avons assez nous-mêmes… » Consultez les caricatures des journaux amusants, et vous serez édifiée. La mode actuelle, qui a le désavantage de coûter très cher à celles qui veulent la suivre, et de les ahurir un peu, a au moins la supériorité d'échapper au ridicule. Elle court si vite!…
Et cependant, me direz-vous, elle existe. On s'habille, que diable ! A vous d'extraire de tout cela la ligne générale, je ne sais pas moi, la synthèse…
Je veux bien. Voyons. Cherchons ensemble. Est-ce la tunique ? Mais non, puisque la bonne moitié des toilettes ne comporte pas de tunique. Est-ce la cape? La cape donne une jolie silhouette, mais que de femmes restent fidèles à des manteaux d'une tout autre forme, et cependant demeurent très dans le train! La note serait-elle donnée par le chapeau? Je veux bien, mais alors lequel? Le petit, le grand, le plat, le large, l'immense, le rond, le roulé en cornet, le lourd ou l'aérien?… Ne cherchez pas plus avant et reconnaissez avec moi que ce qui caractérise la mode actuelle n'est pas tant une ligne plus ou moins souple et gracieuse du vêtement qu'une attitude de la femme qui porte ce vêtement, cette attitude molle, hanchée, abandonnée, douce, passive, un peu veule et que, pour tout dire, j'appellerai l'attitude-tango.
On a souvent dit: « Le ventre s'est beaucoup porté cette année. » Quelle impropriété fâcheuse d'expression! Vous le savez bien, vous qui vous habillez à ravir et vous tenez de même, qu'il n'a jamais été question de ventre, mais qu'il a été énormément question de tango. Or, dans l'exercice de cette danse charmante, et qui, malgré de retentissantes interdictions ecclésiastiques, n'est pas près de disparaître, on se trouve fort souvent le bras en l'air et le talon relevé, portant tout le poids du corps sur un seul côté, ce qui donne aussitôt aux dames un petit air langoureux et vide, une attitude molle et déjetée.
A force de s'adonner à cette danse, nos élégantes ont pris l'habitude de se tenir ainsi dans toutes les autres circonstances de la vie. Et c'est en tanguant qu'elles entrent dans un salon, qu'elles y prennent le thé, qu'elles écoutent les hommes d'esprit, qu'elles regagnent leur automobile, qu'elles essaient leurs robes, qu'elles attendent la balle au tennis, enfin qu'elles vivent.
Rappelez-vous comment elles étaient il y a seulement trois ans. Droites, fières, faisant valoir le moindre pouce de leur taille, et minces, si minces ! C'étaient des Florentines, des reines, d'inaccessibles idoles. Le tango a changé tout cela. Le tango les a humanisées, assouplies, le tango les a brisées.
Il y a même là un profond mystère. Car, enfin, le corset, lui, n'a rien abdiqué de son inflexible nature. Il a beau porter des noms de nixes et d'ondines, de fées, de magiciennes ou de déesses, tout ce qu'on peut dire c'est qu'il commence un peu moins haut pour finir beaucoup plus bas. Et certains ressemblent davantage à des culottes baleinées qu'à des corsets proprement dits. Mais le fait est que cet instrument n'a de suave que le nom et qu'il se compose toujours d'un buse rigide comme un principe, d'agrafes solides comme des crampons et de fanons qui rompent parfois, mais ne plient sous aucun prétexte. Comment une femme aussi farouchement maintenue peut-elle trouver le moyen de se pencher avec une langueur si délicieuse? Comment arrive-t-elle à donner l'impression de n'être, en dessous, couverte que de linons impondérables et de souples batistes? Énigme, vous dis-je. Enigme de courage et d'héroïsme. La femme d'aujourd'hui est cent fois plus étonnante que le jeune Spartiate qui souriait tandis qu'il était dévoré par son renard. Cet adolescent, en effet, personne ne lui demandait dé remuer. Mais la femme à la mode, non seulement elle sourit, mais encore elle va et vient, elle penche le buste à droite et à gauche, elle marche, elle danse, cependant qu'un appareil ingénieux et terrible lui froisse les côtes, lui comprime le ventre, lui lacère les jambes, lui meurtrit les genoux. Que lui importe ? Un sourire d'extase illuminant sa figure enivrée, elle s'avance, désarticulée et engageante, suivant toutes les règles de l'attitude, qui lui donne son grand cachet de chic, de l'attitude-tango.
—
My dear friend,
You ask me my opinion on current fashion, just like that?… That's a woman's idea!… As if Fou could profess an opinion on such a subject, so undulating! All a man of taste can do is admire his passing contemporaries, and respect this tormenting effort that they impose on you to infinitely diversify their seductive figure. I know that this effort is not always successful. But don't blame fashion, which has nothing to do with it. There are two kinds of women, those who have taste… and those who don't. The latter have the genius to choose from among the outfits of the day precisely the one that will make them look ridiculous.
There comes a time when we no longer notice how graceful the women of taste are who still wear fashionable things last month, but we only have eyes for their unfortunate imitators. That’s when a fashion goes out of fashion. It needs to be changed.
The question of changing does not arise for current fashion, since its characteristic is, on the contrary, to be in perpetual evolution. An evolution! what did I say? a dizziness… We don't have time to relate… It seems that all countries are invited to provide us with constantly renewed sources of inspiration. And it is Persia and soon India, and it is Greece, the Greece of Mr. Pierre Loüys, the semi-eastern Greece of Alexandria, and it is Turkey and tomorrow it will be China. And then afterwards, we will go back to the Middle Ages. We will loot the museums. Current fashion? Ah! very stupid anyone who tries to make fun of it! Because he would not have sooner finished his little diatribe, so vain! that one could already reply to him: “But, Sir, you are dating, you are making fun of a very old thing. What you find ridiculous, we have had enough of it ourselves for at least a fortnight…" Look at the caricatures in the amusing newspapers, and you will be edified. Current fashion, which has the disadvantage of being very expensive for those who want to follow it, and of bewildering them a little, at least has the superiority of escaping ridicule. She runs so fast!…
And yet, you will tell me, it exists. Let's get dressed, damn it! It's up to you to extract the general line from all this, I don't know, the synthesis…
I don't mind. Let's see. Let's search together. Is it the tunic? But no, since a good half of the toilets do not have a tunic. Is it the cape? The cape gives a pretty silhouette, but how many women remain faithful to coats of a completely different shape, and yet remain very in tune! Would the score be given by the hat? I'm willing, but which one? The small, the large, the flat, the wide, the immense, the round, the rolled into a cone, the heavy or the airy?… Look no further and agree with me that what characterizes current fashion is not so much a more or less supple and graceful line of the garment as an attitude of the woman who wears this garment, this soft, hip, abandoned, gentle, passive, a little spineless attitude and which, to tell the truth, I'll call it attitude-tango.
It has often been said: “The stomach has worn a lot this year." What an unfortunate impropriety of expression! You know well, you who dress beautifully and carry yourself the same, that it was never a question of stomach, but that it was very much a question of tango. Now, in the exercise of this charming dance, which, despite resounding ecclesiastical prohibitions, is not about to disappear, one very often finds oneself with one's arm in the air and one's heel raised, carrying the entire weight of one's body, on one side only, which immediately gives the ladies a little languorous and empty air, a limp and lopsided attitude.
By devoting themselves to this dance, our elegant ladies have gotten into the habit of holding themselves like this in all other circumstances of life. And it is while swaying that they enter a salon, that they take tea there, that they listen to men of wit, that they return to their car, that they try on their dresses, that they wait the tennis ball, finally let them live.
Remember how they were just three years ago. Straight, proud, showing off every inch of their waist, and thin, so thin! They were Florentines, queens, inaccessible idols. Tango changed all that. Tango humanized them, softened them, tango broke them.
There is even a deep mystery there. Because, finally, the corset has not abdicated any of its inflexible nature. It may bear the names of nixes and undines, fairies, magicians or goddesses, all we can say is that it starts a little lower and ends much lower. And some look more like boned panties than actual corsets. But the fact is that this instrument is sweet only in name and that it always consists of a nozzle as rigid as a principle, of solid staples like crampons and of baleen which sometimes break, but do not bend under any circumstances. Pretext. How can such a fiercely held woman find a way to bend over with such delicious languor? How does it manage to give the impression of being, underneath, covered only with imponderable lawns and soft cambric? Enigma, I tell you. Riddle of courage and heroism. The woman of today is a hundred times more astonishing than the young Spartan who smiled as he was devoured by his fox. This teenager, in fact, no one asked him to move. But the fashionable woman not only smiles, but also comes and goes, she leans her bust to the right and to the left, she walks, she dances, while an ingenious and terrible device crumples her ribs, compresses her stomach, lacerates his legs, bruises his knees. What does it matter to him? A smile of ecstasy illuminating her intoxicated face, she advances, disjointed and engaging, following all the rules of attitude, which gives her her great stamp of chic, of the tango attitude.
#Les Modes#20th century#1910s#1914#periodical#fashion#fashion plate#color#illustration#essay#bibliothèque nationale de france#dress#Francis de Miomandre#july color plates
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If Logan Howlett/Wolverine was your partner english version here
notes : GN!reader + des passages ajustés pour AFAB/AMAB (assigned female at birth/assigned male at birth)
⚠︎ warnings : caractères sexuels (oral, fluff), guerre, violence, insécurités, jalousie, alcool, cigare
2 161 mots
Global
l'odeur est très importante pour lui, il n'aime pas quand tu changes de shampoing ou de crème pour visage, et il fait toujours la tête pendant plusieurs jours à cause de ça.
dans le même thème, s'il sent son odeur sur toi, il devient un peu bestial, grognant dans ton cou et mordant ta peau. Je t'assure que tu ne sortiras pas de la chambre pendant plusieurs heures.
il est très jaloux, même s'il ne le montre pas forcément. Il est plutôt du genre à tout intérioriser, se disant qu'il ne devrait pas penser ainsi, jusqu'à ce que ça explose et qu'il mette au sol le type qui te faisait rire.
par ailleurs, il te laisse te défendre par toi-même, il n'intervient que lorsqu'il sent que tu en as besoin, ou que tu lui demandes.
de même, à la maison lorsque tu as un projet en tête, comme un meuble à monter ou un mur à repeindre, il te demandera si tu veux de l'aide mais si tu refuses, il n'insistera pas. Il sera par contre toujours dans la même pièce, pour rattraper un cadre qui tombe ou juste t'observer.
il est fier de toi, et il te le dit souvent. Lorsque tu finis un projet, c'est toujours le premier à te prendre dans les bras et te dire comme il est fier.
quelquefois tu penses qu'il n'a pas une bonne mémoire, parce qu'il oublie que vous aviez un rendez-vous chez des amis ou bien qu'il ne reste plus de lait au frigidaire. Mais lorsqu'il s'agit de toi, il se souvient de tout. Souvent c'est même lui qui te rappelle ta soirée jeu de société avec Ororo ou même tes rendez-vous médicaux. Donc, il n'a pas une mauvaise mémoire, il retient juste ce qui est important à ses yeux.
il adorerait pouvoir s'endormir sur toi, mais son poids ne le permet pas à cause de l'adamantium qui le rend trop lourd. Tu essaies alors toujours de le câliner sur le côté en le serrant fort contre toi, et tu sais qu'il adore tout autant ça que toi.
vous faites beaucoup de blagues tous les deux, la plupart du temps les gens ne comprennent pas pourquoi vous riez et ça vous va très bien, c'est entre vous.
tu adores passer tes journées avec lui, mais il te pousse parfois à sortir avec tes amis parce qu'il ne veut pas que tu t'isoles à cause de lui. Mais tu trouves toujours le moyen de rapporter un petit quelque chose qui lui appartient avec toi, comme un foulard, un collier ou une veste ou un suçon.
il a mis du temps pour se livrer, beaucoup de temps. Mais à présent vous pouvez parler de tout, et au final il est assez bavard.
tu aimes lui donner des surnoms, tu lui en donnes énormément en fait et il se souvient de tous, même les plus futiles.
lui aussi il te donne des surnoms, mais il n'en a que très peu car ils veulent dire beaucoup à vos yeux. Même si bien sûr, "bub" est celui qu'il a le plus utilisé depuis votre toute première rencontre.
il sent beaucoup de choses, avec son odeur mais aussi énormément avec “son instinct” comme tu aimes l’appeler. Bien sûr il sent les catastrophes arriver et ce genre de trucs, mais il sent aussi quand tu as un problème de santé, ou un quelconque changement interne, il le sent. Il sent quand tu es triste, quand tu as mal, quand tu réfléchis trop, quand tu as envie de lui sauter dessus.
il se fout de beaucoup de choses, vraiment beaucoup. Que tu ne te rases pas ? Il s’en fout. Que tu pètes ou rotes ? Il s’en fout. Que tu en mettes partout en mangeant ? Il s'en fout aussi. Une fois, tu étais malade sur une longue période et la douleur était tellement puissante que tu n’avais pas pu te laver pendant quatre jours, et devine quoi ? Il s’en foutait totalement, tout ce qui importait était que tu te sentes mieux le plus vite possible. Il est tellement à l’aise avec ce genre de sujet, qu’il t’aide parfois pour te raser et ça lui fait plaisir en fait, comme ça tu évites de te couper.
vous habitez assez loin de la ville, dans un coin calme et un peu paumé ce qui vous permet d'être tranquilles, sans voisins bruyants ou attentats à chaque coin de rue.
Vie sexuelle
ton plaisir est sa priorité, dans la vie de tous les jours comme sexuelle. Alors il peut passer des heures et des heures à te torturer sans jamais se toucher. En fait, il oublie souvent son propre plaisir tellement il aime te voir crier son nom sous lui. C'est à toi de le plaquer contre le matelas et de le déshabiller la plupart du temps, même s'il te dit qu'il va bien et qu'il peut supporter la douleur. Mais il suffit que tu lui fasses tes doux yeux et que tu glisses une phrase dans le genre "s'il te plait, ça m'excite de te sucer" et il devient aussi chaud que la braise.
en parlant de ça, il adore les fellations mais il ne te demandera jamais de lui en faire une, même si tu sais très bien reconnaître les signes.
FOR AFAB : il te répète tout le temps à quel point il aime la manière dont tu mouilles pour lui à une vitesse impressionnante. Et en fait, il adore rendre cette humidité audible en faisant de grands mouvements avec ses doigts/langue/sexe/jouet, et puis, il aime te voir rougir à cause de ça.
FOR AMAB : il aime beaucoup te titiller jusqu'à ce que ton précum dégoulines sur toute ta longueur, et de même, il adore les bruits que fait ton corps, donc s'il faut accélérer ses mouvements pour que les sons humides soient plus forts, il le fera sans hésitation.
lorsqu'il jouit, il fera tout pour éloigner ses poings de ton corps, parce qu'il a toujours peur de ne pas se contrôler et que ses griffes sortent.
de même, lorsqu'il a un sommeil agité, il se forcera à rester sur le ventre avec les mains sous son oreiller.
il est tout l'inverse de sauvage. Il a déjà passé une heure entière à juste embrasser ton corps et sentir ton parfum. Je veux dire, il est déjà tellement dur et fermé au quotidien, la chambre est le seul endroit où il prend son temps et savoure chaque moment avec toi comme si c'était le dernier.
malgré ça, il arrive que vos parties de jambes en l'air soient plus que mouvementées. Lorsque vous avez passé un long moment séparés physiquement l'un de l'autre, ou qu'un pic de jalousie a fait surface dans la journée.
il est un peu de la vieille époque, il n'a pas des fantasmes farfelus ou tordus, il aime juste être avec toi. Il a carrément de l'expérience, mais il dit toujours n'avoir jamais vraiment aimé le faire en public ou le dirtytalk. Par contre, si c'est toi qui lui propose quelque chose de nouveau, comme un jouet ou une tenue, il sera toujours partant, et avec grand plaisir.
il est très à l'écoute, et parfois il préfère ralentir, voire stopper, parce qu'il sent et voit que tu as quelque chose en tête qui te préoccupe.
de la même manière, il aime savoir ce que tu ressens : il aime te demander si tu apprécies ce qu'il te fait, là où il appuie, la position dans laquelle tu es.
Petites choses du quotidien
il adore lorsque tu t'assois sur lui, que ce soit son torse ou ses hanches ou son visage. S'il y a cinq sièges, le seul et unique où tu auras l'autorisation de t'assoir sera ses genoux.
si tu as besoin d'aide pour tester quelque chose, il est toujours volontaire. Par exemple, lorsque tu vas racheter une crème ou du maquillage, il se retrouve toujours avec une dizaine de produits cosmétiques étalés sur la main et le bras.
lorsque vous faites des courses ou du shopping, il se débrouille toujours pour porter les sacs les plus lourds sans que tu ne t'en rende compte.
il dira toujours oui si tu veux encore aller voir une boutique, même s'il fait nuit et froid. Parfois, c'est même lui qui te propose d'y aller, parce qu'il a vu comme tu regardais la devanture du magasin.
tu le fais souvent rire lorsque tu ressors des objets/musiques/expressions qu'il a connu il y a des dizaines d'années auparavant.
il n'aime pas que tu dises ça mais tu trouves qu'il a vraiment des comportements de chat. Lorsqu'il est contre toi, il se met en boule et cale son visage contre ton ventre. Et tu peux juré avoir entendu une sorte de ronronnement une fois, peut-être qu'il ne s'agissait que d'un grognement, mais c'était de toute façon adorable.
il écoute de vieilles chansons, normal vu son âge, et ça te fait toujours sourire de le voir marmonner des paroles que ton grand-père aurait pu chanter.
tu demandes toujours à goûter ou tester ce qu'il mange/boit, malheureusement pour toi c'est souvent très fort en bouche (alcool, piment, viande).
lorsqu'il achète de nouveaux cigares, tu veux aussi toujours tester, même si tu trouves ça dégoûtant. Mais tu sais que ça lui fait plaisir que tu essaies les choses qu'il aime, même s'il évite de te faire goûter trop souvent de peur que tu te mettes à fumer à cause de lui.
vous avez l'habitude de faire de longues balades en moto, lorsque vous vous sentez un peu dépassé par des évènements ou simplement la vie.
il adore l'hiver, plus que n'importe quelle saison, et il peut passer sa journée dehors à juste regarder la niege tomber.
Vulnérabilité
il fait fréquemment des cauchemars, tous violents et traumatisants. Dans ces cas-là, il quitte le lit et va prendre l'air, parce qu'il ne veut pas que tu le vois en colère ou triste. Mais tu te réveilles toujours, parfois tu le laisses tranquille parce que tu sens qu'il en a besoin, et à d'autres moments tu le prends dans tes bras.
il pleure plus qu'il ne veut l'avouer, souvent à la suite de ses cauchemars justement. Tu sais qu'il n'aime pas ça, et tu as beau lui répéter que c'est beau de pleurer, il ne sera jamais de cet avis pour son cas personnel. Alors tu fais semblant de ne pas voir ses larmes, tu embrasses ses cheveux et le prend contre ton poitrail. Le lendemain, il vient toujours te remercier, avec des mots ou des gestes.
lorsque tu as de mauvais jours, il le sent à des kilomètres et il fait tout pour te faire te sentir à l'aise. Il a même été chercher des chocolats pomme/cannelle dans une autre ville parce que tu l'avais mentionné.
Entourage
il n'a pas de famille, ou du moins pas de liens de sang, mais Charles et toute l'équipe occupent une place importante dans son cœur, même s'il ne le dit pas.
vous allez souvent passer plusieurs semaines d'affilées dans le manoir, tu aimes voir un refuge aussi beau ouvert à tous mutant et Logan a besoin de retourner là-bas parfois, c'est un peu la seule maison qu'il ait jamais eu (à part toi bien sûr).
Charles est très gentil avec toi, il a tout de suite aimé ta personne et il n'a pas manqué de le dire à Logan.
tu t'entends vraiment bien avec Ororo, c'est un peu devenue comme une sœur à tes yeux.
Logan t'avais parlé de ses conflits avec Cyclope et tu as pu le voir de tes propres yeux, ils s'envoient des pics tout le temps.
il t'avais aussi parlé de Jean, et honnêtement, au début tu n'aimais pas vraiment parlé d'elle, tu avais peur qu'il l'aime toujours. Mais tu as vite pris conscience qu'il n'y avait plus rien entre eux, que c'était juste une sorte de très très gros crush mais qu'il t'a rencontré et que maintenant rien ne t'égale, ce sont ses mots.
deux fois, tu as vu Magneto dans le jardin en train de jouer aux échecs avec Charles, mais tu as préféré ne pas t'en mêler, lui non plus Logan ne l'aime pas et apparemment c'est mutuel.
les x-men sont un peu devenus comme une deuxième famille pour toi aussi, ils t'ont tous accueillis les bras grands ouverts et tu les remercies souvent pour ça.
la première fois que Logan t'a amené là-bas, tout le monde vous a regardé avec des yeux de grenouille. Les étudiants avaient du mal à croire que Wolverine était en couple, et pourtant c'est le cas.
Phrases typiquement "Logan"
J'suis fier de toi
Tu as besoin de quelque chose ?
Sur mes genoux bub
ELLE/ELLE READER : Je sais que tu peux ouvrir ce bocal toute seule, puisque t'es "une grande fille", mais je veux le faire pour toi
IL/LUI READER : Je sais que tu peux ouvrir ce bocal tout seul, puisque t'es "un grand garçon", mais je veux le faire pour toi
Quelqu'un t'a fais du mal ? Dis-le moi
Film ? Installe toi, je prends les plaids
Chocolat chaud ?
Viens là, viens dans mes bras darl'
SEXUALITÉ
Tu sens ? Dis-moi que tu sens comme tu trembles pour moi
Bordel, regarde toi, putain d'magnifique
Jamais personne n'aura la chance de te voir dans cet état huh ?
Dis-le moi, dis mon nom darling
Putain refais ça, refais ça pour moi
° x-men masterlist
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saga: Soumission & Domination 357
24h du Mans moto-3
18/04 suite :
En attendant nous passons notre temps entre mater la course et se balader le long du circuit. Bon d'accord je mate aussi les petits culs quand ils sont bien mis en valeur par les pantalons ou les combis en cuir. On croise quand même un bon nombre de petits mecs qui accompagnent leurs pilotes !
Ils sont reconnaissables à différents détails : une différence d'âge limite père/fils, des physiques disparates avec souvent un des deux typé " crevette ", et pour celui-ci une tenue plus soignée que celle du motard de base qui privilégie le confort à l'esthétisme. Ils répondent sans pudeur par un grand sourire à mes clins d'oeil quand nos regards se croisent.
On se retrouve tous pour diner. Bon ça prend une bonne demi-heure pour que nous soyons tous réunis mais nous sommes au complet pour nous restaurer. Nous choisissons la " gargote " en fonction de sa capacité à nous recevoir tous.
La nuit tombe sur le circuit et l'ambiance change. Malgré la fraicheur qui tombe, l'alcool ingurgité tout l'après-midi commence à faire des effets sur un bon nombre de spectateurs. Ça va des mecs qui cuvent sur un talus à ceux qui n'en sont pas loin mais gerbent le surplus sans compter les mauvais coucheurs qui interpellent ceux qui passent à leur portée dans le but inavoué de déclencher une bagarre.
Notre groupe décourage les emmerdeurs même si nous sommes moins discrets et que les couples qui le compose sont évidents, plus collés/serrés.
Mais nous tombons sur un groupe d'Anglais inconscients. Ils sont une 10aine et nous aussi puisque l'autre moitié de notre groupe nous suit à plus de 20 mètres derrière. Ils sont plein de bière et nous insultent. Même si nous leur faisons savoir que nous sommes tout à fait d'accord avec eux quand ils nous traitent de PD, ils n'en restent pas là et veulent vraiment se battre. Nous sommes dans une partie peu fréquentée du circuit et ils se pensent vraiment au-dessus de nous avec leurs physiques lourds !
On essaye de leur faire comprendre que ce ne serait pas raisonnable pour eux de continuer à nous chercher mais ils sont sourds, les oreilles bouchées par l'alcool ingurgité en grande quantité.
La première ligne anglaise laisse passer ceux qui étaient derrière. Eux sont armés de chaines. Moins drôle tout à coup ! Heureusement nous sommes tous équipés de cuir et les renforts vont nous servir.
Je pense qu'ils se sentent réglos en avançant un par un. J'engage le premier qui se présente. Contrairement à ce que son alcoolisation pourrait le faire penser, il est encore très lucide ! On fait à peu près la même taille mais il me semble plus lourd.
J'attends qu'il fasse le premier pas. Il me fonce dessus. Je tente un truc qui devrait, si cela marche, l'arrêter direct. Il s'agit de frapper très fort avec le plat de la main situé à l'aplomb du bras sur le front de l'agresseur. Selon la théorie, car c'est évident qu'on n'a pas essayé ça entre nous, ça doit stopper un boeuf.
Je tente et frappe à l'endroit voulu. Ça marche !! Le mec tombe à mes pieds. Par contre le choc en retour est costaud.
Ses potes sont sidérés. Ça devait être leur leader car ils restent comme des cons sans réagir. Un des internes s'occupe du mec que j'ai couché. Il nous rassure tous, oui même moi. Le mec est juste assommé. Les copains nous rejoignent. Ça finit de dissuader les anglais qui repartent avec leur pote.
On rejoint des lieux plus éclairés en discutant de l'efficacité de ma riposte. Nos deux gendarmes ne connaissaient pas et trouvent ça plutôt pratique. PH et Ludovic sont un peu déçu que le reste de la troupe n'ai pas suivi et me reprocheraient même d'avoir été trop rapide. Ils se font remonter les bretelles par Marc et nos représentants de l'ordre public. On était là pour la course pas pour se faire un tableau de chasse.
Frank me dit avoir filmé la scène avec son smartphone. On s'isole et je mate la vidéo. On voit bien le geste. Je lui dis qu'il devra me l'envoyer pour que je le passe à notre prochaine séance d'entrainement.
On s'approche de la zone du concert. La foule est dense pour écouter les Wampas. On passe un bon moment entre musique et " gesticulations ".
Un nouveau tour du côté de la piste et comme minuit est passé nous rentrons dormir un peu. Pas un chat sur la route, nous mettons 5mn pour arriver au château.
Notre hôte n'est pas encore couché. J'en profite pour lui donner son t-shirt. Il est tout content et nous accompagne pour l'en cas que nous avions prévus. Alors qu'il apporte les plats avec l'aide de quelques-uns d'entre nous, Frank branche son portable sur l'écran plat. Les professionnels (gendarmes) et même les autres regardent le geste que j'ai fait et l'analysent.
On critique le mouvement et je leur explique que si ça mis le mec au tapis, ce n'est pas sans douleur au poignet au moment du choc. Donc c'est le genre de truc à ne pas louper. Les médecins expliquent le phénomène. Ça ressemble au KO d'un boxeur. Le choc au front entraine un traumatisme du cerveau et une perte de connaissance. Les lobes situés à l'avant du cerveau contrôlent la parole et le langage, le raisonnement, la mémoire et divers autres fonctions dont et surtout les mouvements. Le lobe frontal droit gère les mouvements du côté gauche du corps, et inversement pour le gauche.
Donc quand on choque cette partie du cerveau avec une force suffisante, on obtient une immobilisation temporaire immédiate.
J'explique que c'est la première fois qu'on met en oeuvre cette parade. Ils rient et nous disent d'éviter de nous entrainer sur nous-même. Chaque choc à la tête provoque la destruction de centaines de neurones.
Ils nous disent aussi que ce n'est qu'en dernier recours que nous devrions avoir recours à cette parade. Les risques sont important pour le frappé d'avoir des séquelles importantes si le choc est trop fort.
On en prend note et les assurons que nous l'utiliserons qu'en arme ultime.
Nos faims calmées nous partons dormir un peu.
19/04 :
Réveils décousus sur une bonne heure. Je suis le premier debout et part vite plonger dans l'eau me réveiller et détendre mes muscles. Quand je sors de l'eau, le cuisinier m'apporte un café accompagné d'un croissant tout frais. Je lui dis de rester là et pars chercher son t-shirt dans le sac resté dans l'entrée. Quand je reviens il est toujours planté à côté de la table de jardin. Je lui tends le bout de tissu. Il le déplie, lit l'inscription et me remercie qu'il ne fallait pas. Je lui dis que c'est pour le remercier de nous avoir sacrifié son WE. Je m'approche de lui, retire le t-shirt basique blanc qui recouvre son torse et après m'être rincé l'oeil, lui dit d'enfiler le nouveau. La taille est bonne, c'est-à-dire 1 en dessous. Ça le moule bien et on devine le modelé de ses abdos. Pour les pecs, c'est évident et de profil même ses tétons sont visibles !
Quand il repart en cuisine je lui sors un " bonne chance maintenant pour éviter de te faire violer ". Il se retourne et me remercie du compliment.
Mes acolytes se réveillent dans le désordre et me rejoignent, les yeux encore collés, qui les cheveux en bataille quand ce n'est pas les deux à la fois.
Comme prévu, ce sont des sifflements qui sortent de toutes les bouches quand le cuisinier apporte les plateaux de bouffe. Mes amis attendent quand même qu'il les ait déposés avant de passer leurs mains dessus, justes pour apprécier le-t-shirt bien sûr !!
Nous arrivons à le faire bander même s'il n'est pas persuadé de baiser avec nous !
Donc petit déjeuner, douches, enfilage des combis et on saute sur nos motos pour rejoindre le circuit. Nous arrivons en milieu de matinée et la population debout, autour de la piste est encore dispersée. Nous sommes frais et propre par rapport à ceux qui sont restés toute la nuit dans l'enceinte du circuit. On fait le point sur les évolutions de la nuit, qui est en première place, qui en second ...
Il fait beau. Je retire mes bras du haut de ma combi et me met torse nu. Je suis imité par mes mecs (PH et Ludovic) et par la moitié de notre groupe. Ceux qui voudront nous chercher sauront à quoi s'attendre. Plus cachés sous le cuir, nos masses musculaires imberbes font dans la dissuasion.
Et c'est efficace car bien que nous ne nous retenions pas en geste tendre (sans non plus être collés tout le temps à se rouler des pelles) nous n'entendons plus les remarques homophobes de la veille et ne sommes pas pris à partie.
La journée se passe merveilleusement bien jusqu'au drapeau à damier.
Comme bon nombre de motards, nous envahissons la piste et attendons sous le podium la remise du prix et la douche de champagne. Ça parle toutes les langues autour de nous, Espagnol, Italien, Anglais bien sûr mais aussi des langues du nord, hollandais et plus septentrional encore type norvégien et suédois. Non je ne comprends pas toutes ces langues mais comme les diffuseurs agitent des drapeaux nationaux, j'arrive à deviner !
On n'est pas les seuls à être torse nu mais on est le groupe le plus homogène question muscles.
Comme j'ai loué jusqu'à demain matin, personne n'est pressé et nous laissons partir la majorité des motards avant de retrouver nos montures et rentrer au château.
Nicolas nous attendait. On se met à poil et directs dans la piscine. Comme c'est évident qu'on va baiser, pas la peine de s'encombrer de maillots ! Bonne détente musculaire et ça dérape vite. On sort de l'eau et ça s'embrasse de tous les côtés juste au moment où Nicolas arrive avec les bières fraiches.
L'un de nous veut l'entrainer dans notre délire mais il recule et me dit que son cuisinier est là et qu'il ne veut pas être en porte à faux avec lui. Je comprends. Je pars donc en cuisine chercher " l'empêcheur de tourner en rond ".
Je le trouve avec le t-shirt que je lui ai offert le matin même. Il est toujours aussi sexy. Je profite qu'il a les mains pleines pour passer mes bras autour de sa taille, lui faire un bisou dans le cou et lui dire que nous attendons qu'il nous rejoigne à la piscine. Il pose sa poêle se retourne (oui je l'avais attrapé de dos) et me dit que c'est impossible elle est réservée aux clients. Il m'énerve ! Je le bascule sur mon épaule et le porte jusqu'à la piscine où je l'envoi dedans. Puis j'avise Nicolas et lui annonce que son homme est dans l'eau et qu'on va se charger de lui apprendre à baiser des mecs. Donc, lui n'a plus de raison de se retenir, son chef cuistot ne saurait le faire chanter une fois dépucelé.
Le temps qu'on discute, les deux gendarmes et 3 autres sont dans l'eau à dévêtir le nouveau venu.
Quand il est éjecté de l'eau, il est donc tout nu et déjà bandant ! Comme quoi c'était bien la peine de me dire non !!
Nicolas est un peu gêné jusqu'à ce que Louis se mette à téter sa bite.
Moi, son cuisinier m'attire. C'est normal, je ne le connais pas ! Je dois pousser deux Bordelais pour pouvoir atteindre sa peau. Il est face à moi. Le mec est canon de corps (tête normale) surtout un bassin étroit qui porte une belle bite aux couilles rasées et pubis dégagé, raide comme un bâton.
Les deux " expulsés " me poussent dans ses bras et j'en profite. Tentative de roulage de pelle qui est finalement acceptée et même voracement acceptée. Ma bite vient au contact de la sienne et mes mains descendent de son dos pour attraper ses petites fesses. J'essaye de les écarter. Il serre ses fessiers et m'empêche quelques secondes d'accéder à sa rondelle. On continue à se mélanger nos langues et à frotter nos queues l'une contre l'autre.
Les copains me le laissent et sont partis chercher leur plaisir entre eux. Mes tétons durcissent contre les siens. Il lève ses bras pose ses mains derrière ma tête et appui histoire de me retenir au cas improbable où j'aurais souhaité le laisser tomber !
Il relâche ses muscles et j'arrive à séparer ses fesses et à poser un doigt sur sa rondelle. Je sens sa bite sursauter contre la mienne dès que le bout de mon doigt se pose sur cet endroit intime.
Je repousse ma tête, le fixe dans les yeux et lui dis " tu veux me faire croire que t'as pas envie de ma bite au fond de ton cul peut être ? ". Il m'embrasse dans le cou et me souffle que, faire ça chez son boss c'était pas évident pour lui.
C'est vrai, nous c'est facile, on est des clients mais lui, c'est Nicolas qui le paye.
Je lui dis d'ouvrir une parenthèse que demain quand on sera parti, il l'a refermera tout comme son boss et il ne restera qu'un bon souvenir pour tous.
Je descends ma tête jusqu'à ses tétons déjà raidis. Je suce, mordille. Je l'entends gémir. Je descends encore et trouve son gland juste au niveau de son nombril. Il est circoncis et gonflé à en éclater. Je m'empresse de tempérer son extrémité. J'ouvre la bouche et après l'avoir mis dedans, je joue de ma langue. Léchages langue plate, tour de sa couronne, tentative de l'enfiler dans son méat, je m'occupe bien de son bout avant de me l'enfoncer dans la gorge. Je ressens son sursaut alors que son gland passe ma glotte. J'attrape ses fesses et les tire vers moi pour bien écraser mon nez sur son pubis. Sa bite rentre profond. A vue de gorge, elle doit faire dans les 21cm. Je m'étouffe puis recule pour respirer puis recommence. Je l'entends au-dessus de moi gémir que c'est trop bon.
Je me redresse et on se roule une nouvelle pelle. Il est encore plus chaud qu'avant. A son tour, il glisse contre moi et sans arrêt part directement chercher ma queue. Sa pipe est bonne mais pas du niveau de la mienne. Il s'y essaye pourtant et s'étrangle deux fois avant de se contenter de me téter le gland. Il l'aspire collant ses joues contre lui. Il gonfle ses joues pour avoir la place d'en faire le tour avec sa langue.
C'est pas mauvais non plus !
C'est lui-même qui se redresse et me tourne le dos tout en restant collé contre moi. Il roule du bassin jusqu'à ce que ma bite se calle entre ses fesses. Là, il contracte ses muscles et elle se retrouve emprisonnée alors que je suis toujours dehors ! Pas mal du tout !!
Je glisse entre elle comme un hétéro entre deux seins ! Mais c'est meilleur car plus de compression.
Je mordille son cou et lui souffle à l'oreille que j'adorerai lui défoncer la rondelle. Réponse : " pareil ", " enfin non, je veux ta bite en moi ". Bon on est sur la même longueur d'onde, c'est tout bon.
Je me kpote et lui enduit le trou de gel. Bon je lui enfonce quand même deux doigts bien profond pour graisser l'entrée. Ils rentrent facile. Je les remplace par ma bite. Je pousse doucement je lui laisse le temps de se détendre. J'accentue ma pression et mon gland pénètre son ampoule anale. Je cesse de pousser le temps qu'il s'habitue à ma présence. En fait j'attends et c'est lui qui relance la pénétration en se reculant.
Je termine d'un coup sec et pose mes hanches contre ses fesses. Dieu que c'est bon un cul nouveau ! J'y vais doucement les trois/quatre premiers assauts. Je monte en puissance. Il encaisse bien et prend du plaisir sous mes coups de boutoirs. Sa rondelle se crispe par moment et amplifie mon propre plaisir. Je me couche sur son dos et lui affirme que je suis bien dans son cul mais que je ne suis sûrement pas le premier. Il tourne la tête, me sourit et me confirme le fait. Il ajoute que ce n'est quand même pas sa pratique habituelle et que sa dernière sodo remontait à quelques mois quand même.
Sans cesser notre emboitement mouvementé, on mate un peu les autres baiseurs. Il rigole de voir son patron dans sa position, avec un gendarme à chaque extrémité. Je fais un panoramique. Mes mecs sont bien occupés aussi. Ludovic est en train d'enculer le Louis de Frank avec ce dernier planté dans son cul. PH lui est occupé avec deux de nos bordelais. Kamal lui s'éclate la rondelle sur la méga-bite du Lad.
La baise est intense. Entre les gémissements on peut distinguer des " Fuck ", des " t'es trop bon toi ", des " plus fort ". Tout va bien !!
Quand la baise est finie, nous mettons tous la main à la pâte pour finir la préparation du diner et ce malgré les refus répétés de Nicolas et de son cuisinier.
C'est sûr qu'il ne faudrait pas que la DDPP se pointe pour une visite sanitaire. Voir des mecs en maillot dans la cuisine, ça passerait pas !
Soirée calme puis gros dodo en prévision des retours.
Jardinier
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Scary Discord : utiliser Discord pour son forum RPG
Discord, c'est un peu le débat du siècle dans la sphère rpgique. Il remplace le très vieux débat "Chatbox ou pas Chatbox ?" d'il y a 15 ans (la vache, ça nous rajeunit pas !). Sur COS, la question ne s'est même pas posée pour être honnête : nous sommes toustes adeptes du Discord et il ne nous est même pas venu à l'idée de nous en passer.
Pourquoi Discord c'est cool ?
Que ce soit en tant qu'admin ou que rpgiste, Discord a des avantages non négligeables :
Il permet à un.e nouveau.elle joueur.se de tester l'ambiance de la communauté avant de s'y installer
Il permet une gestion plus efficace de la communauté dans sa globalité (gestion des dramas dès leur émergence, réponses aux questions plus immédiates, prise de température sur les différentes animations, relai des sondages...)
Il aide à conserver sa communauté plus soudée en conservant une bonne ambiance générale et limite le "turn-over"
Il aide aux liens entre personnages de façon beaucoup plus efficace qu'une fiche de liens
Il permet un meilleur suivi des rps en cours, donc limite les risques de rps "oubliés"
Il pousse aux multicomptes avec plus d'efficacité
Pourquoi Discord effraye tant les rpgistes ?
Etant du côté pro-discord, j'ai longtemps eu du mal à comprendre celleux qui le craignaient. Mais après moultes discussions, j'ai pu rassembler des explications & des expériences différentes :
La peur de devoir être disponible tout le temps, à toute heure, même quand on a pas la tête au rp
La timidité et l'impression de passer à côté de quelque chose si on est pas actif.ve sur le flood
La création de "clans" et l'impression d'être laissé pour compte
Les private jokes en public
La peur des dramas et du harcèlement
De mauvaises expériences passées sur des serveurs Discord de RPG
La crainte d'un "forum déserté" ou de louper des infos relayées uniquement sur Discord
En somme, exactement les mêmes craintes et arguments que nous avions des années auparavant avec le débat "CB/not CB". Mais en plusieurs années, on pourrait croire que les différents admins de forums ont trouvé des solutions à ce problème.
Une vigilance constante du staff : comment palier aux craintes des rpgistes ?
Discord est un véritable outil pour son forum, en particulier lorsqu'il s'agit de le lancer. Mais c'est aussi un véritable travail pour le staff de le gérer : un Discord non modéré est la porte ouverte aux abus, et pourra même être à l'origine de l'explosion de son forum. Il faut donc être clair.es dès le départ, et imposer quelques règles qu'il faudra renforcer en cas de besoin.
Etablissez un règlement dès l'ouverture de votre Discord et FAITES-LE APPLIQUER. Ecrire un règlement mais laisser couler à chaque fois ne sert à rien !
Utilisez des rôles pour les demandes de mps, et forcer sa communauté à s'y conforter. Tout le monde ne désire pas voir poper 394840 messages insistants, certain.es refusent carrément de parler en mp. Il faut respecter cela.
Impliquez les joueur.ses dans le flood dès leur arrivée, même si cela signifie "casser" une discussion privée d'un groupe de rpgistes. Pour le coup, c'est un équilibre à trouver qui peut être un peu tricky.
Limitez vous-même l'utilisation de "private jokes" sur le chan général, sans les interdire pour vos joueur.ses, ou expliquez-les à celleux qui ne sont pas dedans.
Séparez les chans de discussion. Créer SPECIALEMENT un chan pour parler des sujets plus lourds/émotionnellement drainant permet d'alléger le flood et de limiter les dramas. En contrepartie, vous pouvez créer un chan spécial "bonnes nouvelles" ou "good vibes".
Si vous voyez une discussion s'envenimer sur le flood, INTERVENEZ IMMEDIATEMENT. Contactez si besoin les personnes concernées individuellement. Changez ensuite de sujet pour relancer les conversations et ne pas s'arrêter sur de mauvais messages.
Si une conversation peut être triggering (par exemple : vous venez de ban un.e utilisateur.ice très problématique après des propos violents en public), supprimez la conversation MAIS précisez dans un message public que vous l'avez fait et pourquoi. Ne faites pas les choses en secret, vos membres ont le droit de savoir.
Utilisez les tickets. Cette fonctionnalité permet à n'importe quel.le rpgiste de contacter le staff en cas de souci avec un.e autre rpgiste, et au staff de contacter un.e rpgiste également (cf : 2 points au-dessus en cas de beef en public). L'excellent Draftbot (bot francophone gratuit) a cette fonctionnalité ainsi que plein d'autres, et est très facile d'utilisation.
Tout ce qui est sur Discord et qui concerne le forum DOIT se trouver sur le forum. Ne donnez pas d'infos à vos utilisateur.ices Discord que vos membres non présent.es ne puissent voir !
Dans la même vibe, n'obligez personne à rejoindre votre Discord. Vous pouvez le proposer bien sûr, mais vous aurez toujours quelques personnes totalement réfractaires à cette idée. NE FORCEZ PAS. Faites également attention à ces personnes en particulier (ainsi qu'à celles peu actives sur Discord) pour ne surtout pas les laisser de côté.
Prêt.e à lancer un Discord pour votre forum ? Attention au burn-out !
Comme précisé juste avant, il y a beaucoup à faire en tant que staff pour que le Discord soit un endroit convivial et un sérieux atout pour votre forum. Ce qui signifie qu'en plus du taf d'admin sur le forum, il y a un taf de modération qui peut en effrayer plus d'un. C'est pourquoi je conseillerais de se lancer uniquement si vous êtes minimum 2 dans le staff, que vous connaissez un minimum l'outil, et que vous avez accepté le travail que cela demande. Si votre communauté grossit et que votre Discord est trop actif pour que vous puissiez vraiment le modérer, vous pouvez tout aussi bien déléguer cette modération à un.e membre sans forcément l'intégrer au staff du forum.
Nous avons la chance dans notre communauté d'avoir des gens respectueux qui nous aident avec cette modération en cas de nécessité, et ce sera peut-être votre cas ! Alors ne prenez pas peur, et lancez-vous ♥
#forum#forum francophone#forum roleplay#forumactif#forum rpg#rpg francophone#rpg français#rpg#projet rpg#discord server#discord
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Salut ! 😊
Je me permets de te contacter parce que je suis une grande fan de ce que tu fais, vraiment. Tes créations sont super inspirantes, et j’admire beaucoup ton travail ! 💜
Je trouve qu’on ne prend pas assez souvent le temps de parler des gens qui nous inspirent, que ce soit pour leur créativité, leur style ou juste leur vibe. Du coup, je voulais te poser une petite question : si tu devais recommander trois créateurs d’avatars, tu choisirais qui et pourquoi ? Et tant qu’on y est, qu’en est-il des créateurs de gifs/crackships ? Tu as des noms qui te viennent en tête ? Et pour ceux qui font des AES, tu aurais des recommandations ?
Je suis vraiment curieuse de découvrir tes coups de cœur
Merci d’avance, et encore bravo pour ton boulot qui déchire. 🙌
Bonjouuuur 💜
Tout d'abord, merci pour ton message, il me va vraiment droit au cœur 🤗 C'est une très douce attention durant ces fêtes ! D'ailleurs, désolée d'avoir tant tardé à te répondre.. Faut dire que je suis très souvent à la traine de manière générale sur tumblr (et j'ignore si je pourrais un jour me soigner 😂)
En ce qui concerne mes coups de cœur, je me suis un peu retourné la tête pour ne pas oublier de gens, mettre en avant d'autres, ect.. Parce qu'en vrai, y'a beaucoup de vrais merveilles. Ce qui me plait surtout, c'est de voir combien les styles ont évolués au travers des années (jesuisvieilleouioui), c'est vraiment dingue ! Sinon, pour t'apporter tout de même une réponse, je me suis arrêtée sur trois personnes, qui, à chaque fois que je croise leurs créations, me mettent des étoiles dans les yeux ! 🌟
J'aime beaucoup et depuis longtemps le style de @rollinginthedeep-swan, ses idées et ses inspirations sont toujours sublimes (et j'admire sa résilience avec les gifs souvent trop lourd mdr) mais aussi @soeurdelune pour ses mises en scènes incroyables sur ses avatars (c'est de l'art !). Mais aussi beaucoup pour ses gifs et ses ambiances incroyables @cavarage (qui est aussi soeurdelune 🙌) 💜
Voilààà 💜 J'espère t'avoir un peu répondu ! Je te remercie encore une fois pour ton message 💖 (je m'en remets pas mdr) et je te souhaite plein d'excellentes choses pour 2025 💕
D'ailleurs, je vous souhaite tous plein de bonheur, de santé et de belles surprises pour cette nouvelle année qui démarre ❤️🔥 Comme on dit, puisse le sort nous être favorable 🙌
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Aucune utilité à ce billet, si ce n'est me souvenir de ces détails qui concernent la maison et le jardin. L'année dernière on avait fait construire un poêle de masse dans la maison et on se préparait donc à passer l'hiver à se chauffer exclusivement au bois, et pour stocker tout ce bois, on avait construit un abri, et on s'est rendus compte qu'avec des bonnes mesures, des bons outils et une bonne technique, ce n'est pas si difficile de faire quelque chose qui est fonctionnel. Du coup j'ai ensuite construit moi-même un autre abri, plus long et plus large, pour ranger encore plus de bois. Alors c'est rien grand chose hein, des piquets à la verticale, ceux de l'avant plus haut que ceux de l'arrière, des tasseaux à l'horizontale pour renforcer l'ensemble et servir de support au toit en tôle ondulée. C'est pas très compliqué, le plus difficile est d'être de niveau et d'équerre.
Sur le même principe, l'homme a construit un car-port devant l'abri de jardin pour être au sec qd il travaille sur sa vieille voiture. Et il veut y couler une chape de béton avant l'hiver. Il faut creuser sur 30 cm, sur 18m², ça fait un tas de terre monumental et on va louer un conteneur pour évacuer toute cette terre. Puis après il faudra le bon mélange dans la bétonneuse, les brouettes, tout ça tout ça.
Moi j'ai eu envie d'un petit projet rapide donc j'ai récupéré les planches sur lesquelles il garait sa voiture et j'en ai fait une terrasse. Ce sont des planches de récup, qui servaient à faire refroidir les briques à la sortie des fours. J'ai passé une partie de la journée de samedi à me trimballer la remorque pour ramener le matériel, et puis j'ai trouvé que ce serait mieux avec trois plaques de plus. Deux heures de route plus tard je déplaçais ces plaques dans le jardin. 60 kg chacune. J'ai le dos en lambeaux.
Puis samedi soir j'ai démarré l'encadrement, j'ai continué dimanche matin, puis j'ai eu mes cinq heures de volontariat obligatoire (une ASBL que je devais représenter en faisant la vaisselle dans un festival gastronomique pour avoir des subsides) et dimanche soir j'ai continué de terminer l'encadrement. L'homme m'a juste donné un coup de main pour mettre les plaques sur les tasseaux parce que c'est lourd, mais quand c'est à plat et qu'il faut les placer précisément c'est encore plus lourd. Du coup voilà on a une terrasse. Je vais faire des bacs en palettes pour mes herbes aromatiques, trouver des petites lampes solaires et quelques gros pots colorés pour décorer, et je pense que je vais récupérer des structures de vieilles tables pliantes de bistrot, enlever la rouille et customiser. Il faut encore poncer un peu les planches et protéger de l'humidité, même si elles sont déjà traitées. J'espère qu'on aura un été indien pour prendre le petit dej sur la terrasse déjà cette année.
Le reste du jardin n'est plus une scierie ni un garage ni une friche, il reste encore beaucoup de boulot mais ça avance.
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Épuisée, je me glisse sous la couverture ; au-dessus de ma pupille, une paupière lourde. La tête posée sur l'oreiller ne se repose pas. Il y a quelque chose que j'aime bien avec le fait de dormir en pleine journée. Qu'est-ce que ça change au fait de dormir la nuit tombée ? Ça change que c'est un peu moi qui décide, c'est moi qui reconnais que mon corps est épuisé, que l'esprit sain veut rejoindre la balade de mes anges dehors. Mon corps, ce vaisseau, cette enveloppe, est affaiblie. Je suis épuisée. Je m'en vais rêver que je marche pieds nus dans l'herbe gelée. Va petit corps, endors toi. Allez mes pensées, taisez vous un peu, au moins une heure. Nous tous, nous cet ensemble qui fonctionne et dysfonctionne sans arrêt allons ralentir la cadence. Il parait que dans mon cerveau, si je dors, si je rêve, le travail continue. C'est l'après-midi... J'ai plongé les fleurs de jasmins dans l'eau bouillante, j'ai tourné la cuillère distraitement ; j'ai failli oublier le miel. Je rêvasse déjà. J'espère trouver le sommeil. Dans la chambre ça sent l'encens et le jasmin, le magnolia... J'ai hâte du printemps. Il faut que je ferme les yeux, que je baisse la garde ; je m'en vais, ça me prend du temps - fermer les yeux, soupirer, s'endormir.
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Back from the grave
Bonjour bonsoir à vous tous et toutes. En ce lundi (assez froid, je ne sais pas pour vous) je tenais à vous souhaiter une bonne année 2024. 💫 Je fais ce post afin d'écrire un peu à cœur ouvert, n'ayant plus et ne souhaitant plus être sur discord, il parlera sûrement aux partenaires que j'ai pu avoir avant la nouvelle année et que j'ai "lâchement" abandonnée du jour au lendemain sans un mot. Sachez que cela n'était pas voulu, je me bats avec de lourds démons (bien que cela n'excuse en RIEN mon comportement) depuis que je suis ado et les fêtes de fin d'années n'ont pas été de tout repos pour moi, bien au contraire. Certain(e)s connaissent déjà mon irrégularité globale, Sans rentrer dans trop de détails, une pause de la vie rpgique, voir même de ma vie irl, et du monde d'internet globalement m'a été imposée, pour mon bien. Je ne dirais pas que je vais à 100% mieux, mais je suis vivante et c'est le plus important. Ce message et donc pour m'excuser avant toute chose, sincèrement, j'aurais terriblement voulu vous prévenir, vous tenir au courant. Mais je n'ai pas eu ce luxe. Je ne bosse plus, je suis au ralenti, le temps d'aller mieux. Mon envie d'écrire est plus que présente, je bouillonne d'une rare envie de partager des écrits avec vous tous et toutes. Mais je ne sais pas, plus, où aller. Je ne veux pas imposer ma présence qui pourrait peut-être, être malaisante pour certain(e)s et je ne souhaite m'imposer nul part. De ce fait, si vous connaissez des forums (je recherche un peu de tout, du sombre city au surnaturel.) n'hésitez pas à balancer vos adresses, en commentaires ou par mp ici, je vous serais éternellement reconnaissante. Cependant dû à ma présence qui sera peut-être aléatoire et à mon inconsistance globale, je ne souhaite pas prendre de pré-lien ou de scénario, pour ne plus décevoir personne. Je m'excuse une nouvelle fois, autant pour ce message probablement brouillon, qu'envers les personnes que j'ai pu blesser sans même m'en apercevoir. Je regrette et culpabilise encore beaucoup, et vous êtes plus qu'en droit de ne pas m'accorder votre pardon, je le comprendrais. Il y aura aussi un changement de pseudo, chandelyer devenant Rage. Pour la rage de vivre, pour la rage de ne plus me laisser abattre, pour me battre.
Merci à vous pour la lecture de ce message, votre pardon, et peut-être votre aide.
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La mélancolie des jours gris, c'est ce sentiment diffus qui s’installe quand le ciel reste bas et le soleil, absent. On se sent lourd, un peu comme si chaque chose nous rappelait que le temps passe sans qu’on puisse y faire grand-chose. Les souvenirs remontent, certains doux, d’autres un peu amers, et ils se mêlent aux pensées de ce qu’on a perdu, des amours qui ont filé entre nos doigts. On ne peut pas les oublier, ces souvenirs ; ils reviennent d’eux-mêmes, comme une vieille habitude.
La mélancolie, c'est aussi l'ennui qui s’immisce dans notre quotidien, dans cette routine qui s’impose sans qu’on la remarque vraiment. Les jours finissent par tous se ressembler, comme une boucle interminable. On en vient à faire les choses par automatisme, sans grand enthousiasme, avec une sorte de résignation. La vie avance, les jours passent, et parfois, on a l’impression d’attendre quelque chose sans vraiment savoir quoi.
Au final, la mélancolie, c’est ce mélange de nostalgie et de lassitude, ce sentiment d’avoir laissé passer des choses importantes et de ne plus savoir comment retrouver ce qu’on a perdu. Elle est là, discrète mais tenace, comme une ombre qui nous suit et qui nous rappelle, doucement mais sûrement, que le temps ne reviendra pas.
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Un autre regard : celui de la vérité brutale.
Avant d'entrer dans le vif de ce sujet, laissez-moi vous rassurer, Amis-lecteurs : je ne suis pas particulièrement royaliste, et c'est un point important, tenu compte de ce qui va suivre. On peut d'ailleurs dire que je ne suis pas républicain non plus, ni rien d'autre : du moment où il est admis que toute structure de rang plus élevé ne peut s'alimenter qu'en ponctionnant celles qui sont ''inférieures '', que ce soit un Roi, un Empereur ou un Macron (NB : sauf un Mélenchon, cas limite : lui, il vole tout !)... peu importe qui me détrousse, pour paraphraser l'âne de la fable d'Esope.
Il est cependant exact que je n'ai jamais supporté l'addiction inexplicable de nos ''élites'' (mais le sont-elles ?) pour la formule ridicule dont aucun de ces prébendiers n'accepterait de se départir : un ''Vive la République'' tonitruant, suivi d'un timide et adjacent ''et vive la France'' vite dit, mezzo (ou mezza) voce pour ne pas déranger les dormeurs durant leur sieste. Pour percer à jour le ridicule de cette formule (surtout dans un pays où rien de sérieux ne menace de près ou de loin la dite république), il suffit de mettre son équivalent dans les bouches de n'importe lequel des autres ''leaders'' à la manœuvre sur notre planète. Imagine-t-on, par exemple, LLMM Charles III d'Angleterre ou Felipe II d'Espagne n'ouvrir leur gueule royale que pour crier ''Vive la Royauté'' ? Voit-on Erdogan psittaciser sans fin ''Vive le Califat''... Xi-Jinping ''Vive mon régime indéfini et pour cause''... Viola Amherd (Présidente de la Confédération helvétique) expliquer sur les ondes les avantages de son système –qui, pourtant, a fait ses preuves, lui... ou, plus grotesque encore, Kim Il Song vociférer ''Vive mon régime, c'est-à-dire vive Moi'' ? Nos Nuls en mourraient de rire... mais leur ridicule à eux ne les tue pas, hélas...
Notre complexe de supériorité (plus con que plexe, si j'ose) trouve sa source principale dans la succession de ''les Lumières + la Révolution française'' qui, par manque de chance, a frappé notre pays plus violemment que beaucoup d'autres. Préparés par le faux brillant du cartésianisme, nos arrière-aïeux ont été tellement éblouis par leur propre intelligence d'avoir trouvé des mots à mettre sur des concepts foireux, qu'ils ont oublié que la seule définition connue d'une Civilisation passait par la fusion de modes de vie avec une religion dominante ou autour d'elle. Vous pouvez chercher : vous ne trouverez pas un seul exemple d'une véritable civilisation qui ne soit la conséquence directe d'une métaphysique pré-existante. La France, seule depuis la naissance du temps humain, a prétendu libérer les peuples de chaînes plus ou moins avérées et a mis l'Europe à feu et à sang pour lui offrir un cadeau empoisonné, dont les dits peuples ont mis pas loin de 2 siècles et demi pour se rendre compte qu'ils n'en voulaient pas.
Car le mal était fait : un appareil administratif alimenté par tous les mécontents du temps, s'est mis en place, faisant parfois regretter certaines des causes qui avaient entraîné LA Cause. L'indéniable grandeur résultant de ce qui a été rebaptisé ''Ancien régime'' avec tout le mépris du monde, a mis ou va mettre 3 siècles à s'éteindre, remplacée peu à peu par... rien –ou par ce que contemplent chaque jour nos yeux désespérés, et qui revient à peu près au même : le néant sous toutes ses formes et dans tous les domaines.
Ceux qui ont cru qu'un système sorti de cerveaux vite devenus ''d'un autre temps'' pouvait avoir une chance d'offrir à l'humanité l'équivalent de ce qu'elle avait mis tant de siècles a grignoter vers un mieux progressif mais régulier, portent donc une lourde responsabilité dans l'effondrement en cours (et qui semble irréversible) de ce qui fut la construction de la Civilisation judéo-chrétienne, de loin la plus réussie qu'ait connue l'Humanité, jusque là en marche vers sa propre grandeur, et depuis peu (à l'échelle de l'Histoire) vers une sale décadence faite –et c'est le plus triste, sans doute- - avec l'assentiment des peuples-victimes, qui mettent joyeusement la main à la pâte pour accélérer la et leur chute finale, France en tête et macronisme oblige !
Il faut vraiment avoir la citoyenneté bien accrochée pour avaler toutes les contre-vérités, les mensonges, le charlataneries qui sont la toile de fond de nos jours depuis, disons, 1981, qui a vu des idées intenables d'abord, puis fatales une fois votées, s'imposer et devenir le nouveau ''petit livre rouge'' d'une anti-religion, finalement mortelle à l'Homme sous de belles idées. La catastrophe avait commencé avec la super connerie giscardo-chiraquienne du ''regroupement familial'', vite suivie par les montagnes de faux humanisme des deux mandats de Mitterrand (leur liste dépasserait les limites de ce blog. Citer les 35 heures ou la redéfinition par le vide du mot ''Justice'' suffira !). On est alors entré dans la création d'une véritable contre-religion reposant sur la folie lâchée en liberté, mais dont les buts étaient doubles : détruire tout ce qui marchait plutôt bien en racontant que c'était mauvais... et remplacer tous les socles millénaires par des catalogues de mesures absurdes ne pouvant servir qu'à accélérer la chute de l'ensemble... Leur hymne ''Internationale'' dirait : ''C'est la chute finale'' !
Ce n'est pas sans raison que la veuve du gendarme assassiné hier à 200 m de chez moi par un multi-récidiviste (qui n'était là que parce que ''le système'' se moque pas mal des gens normaux, braves, gentils honnêtes et travailleurs) a évoqué courageusement ''1981'' comme début des folies permissives, destructrices et mortelles à terme (nous y arrivons !) qui nous assassineront peu à peu : à toujours tout confondre, ils finissent par se fondre eux-mêmes. Nous aurons, hélas, de nombreuses occasions d'approfondir ces idées. Ce soir, le chagrin de cette veuve si forte, si digne, tétanise trop la France (je veux dire : la vraie. Pas ce truc informe que LFI ose affubler de ce beau nom) pour que je puisse continuer : trop, ça devient vraiment beaucoup trop... Affaire à suivre...
H-Cl.
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LE REFUGE DE BESCEL
il paraît que la bâtisse est vivante ; certains disent que des fantômes y errent, des vestiges d'âmes d'anciens altérés. Ce serait pour ça que les objets bougent, que les portes s'ouvrent. C'est vrai que la nuit, elle est bruyante. Ça apeure les gosses l'histoire d'une semaine. Et après, c'est son silence qui devient inquiétant. Lorsqu'un nouveau mioche se pointe dans une chambre, son étagère de vêtement se remplit toute seule. Les draps se changent, la déco de la chambre s'adapte. Il n'y a pas d'agent entretien, dans le refuge, elle se lave, s'habille et se répare toute seule.
Le Refuge accueille les mômes altéré·es qui n'ont plus de toits sur la tête. Il arrive que les services sociaux en déposent, que des gamin·es fuguent et se retrouvent ici. Les pensionnaires restent tant qu'iels en ont besoin, certain·es ne partent jamais : deviennent employé·es du refuge à leur tour. Les soignant·es, infirmières, ami·es — appelle ça comme tu veux — sont tout·es des altéré·es.
LA MATRIARCHE — nb / f (libre) • +45 ans TW — rumeurs de meurtre
Si dehors, il caille sa mère, c'est elle qui ramène la chaleur à l'intérieur. C'est pas qu'une directrice cachée derrière son bureau, c'est une figure politique dans le pays. 20 piges qu'elle dirige l'endroit ; elle a débuté si jeune, s'est fait·e les dents sur ses propres échecs. La daronne administrative d'un demi-milliers de mioches, autant de bouches à nourrir parce que c'est elle qui ramène l'argent sous le toit. Un boulot éreintant ? Faut aussi prendre en compte les apparitions télés, les cortèges de tête en manif et prendre soin de recevoir tout le monde dans son bureau.
On la décrit intransigeante avec les monstres dehors, d'un dévouement à faire battre les âmes. Elle est pas celle qui déposera un baiser sur le front, mais elle sera au chevet du moindre grosse bien malade. Comme toute matriarche, elle a été choisie par les lieux. Dans les couloirs, on dit qu'elle aurait tué un type, qu'elle l'aurait fait pour sauver un mioche d'un grand danger. Mais bon, c'est peut-être tout aussi faux, qui sait.
FT. Melanie Lynskey,...
LE TOUBIB — m / nb / f (réservé) • +40 ans TW — alcoolisme (légère mention).
Il aime bien les fleurs, il y en a partout dans son cabinet. Rayon de soleil orangé par la vieillesse sur la fenêtre, sa façade d'un las sourire a besoin d'être décrassée sous un petit coup de karcher. Dire qu'il est marié à son travail relèverait de la mauvaise foi. Il s'endort sur son bureau, c'est qu'il n'a plus vraiment nul part où crécher. Il n'y a que la matriarche qui veille aussi tard pour lui mettre une couverture sur les épaules. Il s'occupe de tous les chiards du refuge, avec le sourire, sans jamais perdre patience. D'une douceur à restaurer les œuvres d'art, c'est rare de trouver pensionnaires qui le déteste.
Le refuge le cache, de la justice, de la loi. Ça a été l'un des tous premiers médecins altérés du monde. Mais voilà, il a déconné. C'est réprimé par la loi, mais pas éthiquement mauvais. Au contraire. Il a sauvé une ou plusieurs vies en faisant ça. La matriarche l'a trouvée, ils se sont vites alliés. Elle a eu raison : on dirait que ses seul tares, c'est ses goûts en matière de chemise et la main un peu lourde sur la boisson.
FT. Oscar Isaac, ...
LE GARDIEN — m / nb (libre) • +45 ans
C'est un bien grand bonhomme, du genre à avoir deux gosses sous les bras, un troisième sur les épaules. On dit qu'il est le gardien du refuge, qu'il veille sur la bâtisse, mais c'est pas vrai. Il vieille sur les mioches, l'âme d'une nourrice planquée dans sa barbe grisonnante. On dit qu'il avait une fille, avant, et il dit qu'il a toujours voulu être grand-père. C'est un rescapé d'une guerre, d'un corps militaire ; il cauchemarde encore, parce qu'il a le cœur grand ouvert. D'une maturité émotionnelle soignée, il joue avec les petiots, aide au devoir des plus ados, écoute les déboires des jeunes adultes.
Derrière ses allures de guimauve, il a la cuirasse dure. Il protège des agressions contre la bâtisse, va chercher les mioches qu'ont fugué et qui se sont retrouvés dans le pétrin. Quand elle a besoin de lui, il est le garde du corps de la matriarche. Il joue les jardiniers, aussi, c'est grâce à lui qu'il y a toutes ces fleurs dans le bureau du toubib.
FT. Dave Bautista,...
LES EMPLOYÉ·E·S — f / nb / m (∞/∞ libre)
Les âmes du Refuge, les vraies, les authentiques ; celles qui font en sorte que les gamin·es se rangent deux par deux, qu'iels ne se perdent pas dans les couloirs. Qu'iels soient profs, surveillant·es, psychologues, secrétaire, assitant·e social...
LES BÉNÉVOLES — f / nb / m (∞/∞ libre)
Les généreux·se de passage, les aidant·es ; celles et ceux qui donnent un peu d'argent, de leur bien ou de leur temps. Celles et ceux qui aident à la garderie, donnent un coup de main à l'heure du midi ou du soir. Ils font des ateliers parfois, aident à récolter des fonds souvent, leur visage change souvent, mais leur aide est irremplaçable.
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Si vous souhaitez réserver l'un de ses PLs, n'hésitez pas à passer dans nos asks ou de nous rejoindre sur le discord ! En espérant qu'ils vous inspirent !!
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